[MV/RP] Deus Lo Vult

Deus lo Vult

Dans les sombres Ténèbres de l'Europe en train de s'effondrer, il n'y a que la guerre.

C'est le 1er millénaire depuis la venue du Christ. Pendant plus de mille ans, la chrétienté a survécu, Guider depuis Rome, la plus brillante cité du monde. Le Pape et les Seigneurs innombrables qui servaient à travers eux la volonté dieu ne sont plus.

De puissantes flottes traversant les vastes mers et des vastes armées livrant bataille au nom du christ sur des terres lointaines, il ne reste plus rien. Les forces de la chrétienté sont nombreuses, mais divisés, à peine suffisantes pour défendre la maison de dieu contre les hérétiques, les Démons et les envahisseurs.

Vivre dans ces temps-là, c'est être un parmi des millions, c'est vivre dans un continent en effondrement et en guerre. Ce sont les contes de ces temps. Oubliez les promesses du progrès et de la compréhension car beaucoup a été oublié et jamais réappris. Il n'y a pas de paix parmi les hommes, seulement une éternité de carnages et de massacres, sous le rire moqueur des dieux païens.

Musique d'ambiance:

Histoire :

Nous sommes en l'an de grâce 1241. Voilà plusieurs siècles que l'Empire Romain s'est effondré. Celui qui régnait d'une main de fer sur la totalité du monde connu n'est plus et l'Europe a sombrer dans un âge de barbarie et de chaos. D'innombrables guerres s'en sont suivis à travers les âges, causant plus de destruction que jamais dans l'histoire connue : Dieu délivra des fléaux sur ce monde et le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par le glaive, par la famine, par la mortalité et par les bêtes sauvages de la terre.

Il a fallu des siècles entiers, le fils succédant au père, le jeune marchant par-dessus la tombe de l'aïeul, pour voir enfin émerger la civilisation de cette apocalypse. Les royaumes chrétiens se constituèrent peu à peu. Le saint-empire Romain Germanique, censé être le bastion du Catholicisme, est divisé, miné par les indépendantismes, la soif de pouvoir et la récente sécession du royaume de Bourgogne. Le Royaume de France n'est pas dans un meilleur état, menacé par les ambitions croissantes du royaume de Norvège et assaillit, en son sein même, par l'hérésie Cathare. L'Espagne chrétienne semble définitivement perdu et même à l'Est et dans le levant, alors que les croisades ont réussi à apporter la vraie foi à l'Orient, un nouvel ennemi se dresse et l'ombre des Hordes Mongoles viennent assombrir le destin de ses paisibles oasis…

Mais peut-être tout n'est-il pas perdu, peut-être est-il possible que la Chrétienté puisse encore vaincre au nom de dieu. La venue au pouvoir d'un nouveau Pape, Alexandre II, sonne le début d'une nouvelle ère. Alors qu'une paix précaire s'est installé, sous les conseils de ce vicaire charismatique, l'Occident a désormais la possibilité de prendre sa revanche. Les émirats sont affaiblis et décadents ; la grande armée mongole à subitement stopper son expansion…

A l'appel du Vicaire de Dieu, les ost se rassemblent, les chevaliers de toute l'Europe marquent leur écusson de la croix du seigneur et seront amenés à s'unir sous la bannière du Tout-Puissant, au son du cri de guerre qui marquera les hommes pour les siècles à venir : DEUS LO VULT !

Règles de jeu :

Deus lo vult est un MV avec une importante composante rp ; vous n'incarnez pas autant un pays qu'un personnage. Gardez bien cela à l'esprit, car c'est une des composantes essentiels du jeu. Ainsi, ne prenez pas vos actes à la légère : si votre personnage meurt, à part sous certaines conditions (par exemple l'existence d'un héritier, mais ça reste à discuter avec le MJ), la partie s'arrête pour vous ! Pour vous inscrire, vous n'avez qu'a indiquer votre choix de nations, et à posté la fiche de votre souverain, indiquant grosso modo son nom, son âge, son physique, sa personnalité etc...

-Vous incarnez, sans grande surprise, les chefs d'État, vassaux, princes-marchands ou chevaliers des différents pays (et donc le pays, ou tout du moins un fief, par extension).

- L'Europe médiévale repose sur le système de la féodalité, que vous connaissez sans doute déjà si vous avez joué un peu à Crusader Kings 2, ou que vous avez simplement un minimum de connaissance en histoire. Selon son rang, un seigneur va posséder des vassaux, possédant eux-mêmes des terres, des soldats et souvent d'autres vassaux. Plus un seigneur est haut dans la hiérarchie, plus son pouvoir, ses terres et son armée seront (normalement) grandes. Il sera ainsi tout aussi important de gérer les relations internes que les relations avec les autres nations. Par soucis de faciliter, le système de l'Iqta en vigueur dans le monde musulman à l'époque sera semblable dans son fonctionnement au féodalisme médiéval.

- Il y aura un ordre de participation à chaque tour, selon la date d'inscription au jeu.

-Les messages doivent faire au minimum de sept lignes (non négociable) et être le plus RP possibles. Elles doivent inclure vos différentes actions de tour. Par exemple, vous pouvez décrire une rencontre avec un de vos vassaux, un événement, le déroulement d'une guerre, l'avancée d'un complot, la traque d'un hérétique, etc.... Mais c'est avant tout sur le Discord que les interactions entre joueur seront les plus courantes. Ses discussions pourront se traduire, de manière RP, par une rencontre entre les deux dirigeants (ou leur émissaire respectif), ou par une discussion par lettres entre les deux dirigeants (nous ferons ici abstraction de la distance de communication par soucis de pratique. Disons que les pigeons voyageurs sont dopés). Les joueurs seront d'ailleurs parfois conviés à de grandes discussions RP, notamment durant des Évents, leurs importances pouvant varier, selon les situations. Reste aux PJ à faire preuve de RP durant ses évènements, notamment au niveau de la religion.

- En ce qui concerne la diplomatie tant interne qu'externe, seul votre imagination vous limites : vous pouvez conclure accords commerciaux, alliances, mariages, échanges de villes, vassalisations etc.... Mais sachez que vos décisions ne sont pas sans conséquence et auront un impact déterminant sur la partie.

-En ce qui attrait à la guerre, cela se réglera pas une sorte de Kriegspriel : les joueurs devront envoyer par message privé leurs plans de bataille. Je jugerai alors de la réussite de la tactique, m'allouant le soin de demander des précisions aux joueurs si nécessaire. Normalement, si les moyens le permettent, la bataille pourra être livré « en direct », via un Kriegspiel. Dans le cas d'un combat contre une nation NPC, le principe reste le même, mais c'est le MJ qui sert alors de général adverse.

- Vu les distances présentes, les tours engloberont des périodes de temps allant d'une semaine, à un mois ou une année, selon les besoins. La chose sera d'ailleurs spécifiée si besoin est.

Les explications étant faites, je souhaite une bonne partie à tous o/.

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Les Zones en blanche, c'est à dire L'Inde, l'Ethiopie et la Mauritanie sont des Terra incognita, inexploré par les aventuriers et cartographes européens. Les joueurs pourront les explorer au fil du jeu, et ceux qui désirent jouer une nation frontalière à ces Terra incognita auront quand à eux une carte personnalisé pour refléter leur connaissance accru de la région.

Population Global :

Europe : 80 Millions

Afrique méditerranéenne : 10 Millions

Moyen-Orient : 27 Millions

LISTES DES FACTIONS JOUABLES :

Ici est indiqué la liste des factions. Elle comprend le nom des dites factions et le nom de la dynastie qui y règne.

Sont également indiqué la population, ainsi qu'une indication de la noblesse armée du pays. Attention ! Ce chiffre est purement indicative, et comme précisé, ne représente que la NOBLESSE ARMÉE du pays, pas ses forces totales, le système féodal ne comprenant pas d'armée régulière. Un roi pragmatique (ou pas trop stupide) aura vite fait de recruter de la piétaille pour ses armées, de former une milice, ou d'engager des mercenaires, augmentant ainsi considérablement ses forces, sans pour autant faire bouger ce chiffre. Par soucis de facilité, considérer les tires de certaines nations (comme les "cataphractes" byzantins) simplement comme des équivalents des chevaliers, bien que ce ne soit pas forcément vrai historiquement. Ils fonctionneront de la même manière en terme de gameplay, seul le nom change pour indiquer une différence culturel.

EUROPE OCCIDENTALE :

- Royaume de France ; Maison des capétiens
- Saint-Empire Romain Germanique/ Royaume d’Italie ; Maison des Hautevilles
- Grand Duché de Lotharingie ; Maison de Savoie
- Royaume de Norvège ; Maison des Hardrada - Enguer
- Ligue Hanséatique ; Changeante
- Duché de Bretagne ; Maison des Dreux - Hussard
- Comté de Toulouse ; Maison de Toulouse
- Royaume d’Ecosse ; Maison des Dunkeld
- Royaume de Galles ; Maison des Aberffraw - Raptor Jesus
- Royaume de Castille/ Royaume d’Aragon ; Maison des Ivrea
- Diverses tribus d’Irlande ; Aucun royaume unifié

EUROPE ORIENTALE ET DU NORD :

- Royaume de Pologne ; Maison des Zielinska - Kenzo
- Royaume de Hongrie ; Maison des Arpad
- Tribus païennes de Scandinavie ; Aucun royaume unifié
- Duché de Lituanie ; Maison des Midagaus

BALKANS ET MER ÉGÉE :

- Empire (autoproclamée) de Bulgarie ; Maison des Aiden
- Duché de Thessalie ; Maison des Dralek - Vladou
- Empire Latin d’Orient ; Maison des Canossa
- Royaume d’Anatolie ; Maison des Bailleul

AFRIQUE DU NORD ET MOYEN-ORIENT :

- Sultanat de Marrakech ;Maison des Mahetans
- Émirat de Tripoli ; Maison des Alumalk
- Califat sunnite de Bagdad ; Maison des Abbasides
- Sultanat Chiite du Caire ; Maison des Fatimides

CAUCASE ET ASIE :

- Royaume de Jérusalem ; Maison des Engelhart
- Royaume de Georgie ; Maison des Tchikovani
- Comté d’Arménie ; Maison des Hagopian - Grennut, aka vosdaronnesellesboiventdu
- Empire Perse ; Maison des Azorahai

FACTIONS INJOUABLES :

- Empire Mongol ; Maison des Yuan

Europe Occidental :

Royaume de France:

Saint-Empire Romain Germanique/Royaume d'Italie:

Saint-Empire Romain Germanique/ Royaume d’Italie :

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Capitale : Aix-la-chapelle, de Jure ; Naples, de Facto
Maison régnante : Maison des Hautevilles
Souverain : Imperator Romanorum y rex Italia Frédéric III
Religion d’état : Catholicisme
Forces armées : Près de 15 000 chevaliers
Population : 15 500 000

Description : Pendant bien longtemps, le Saint-empire Romain Germanique n'a eu que de romain le nom. Prétendu représentant de la chrétienté et héritier de Rome, l'empire était au contraire un des plus grands rivaux de la papauté ; cette intense opposition éclata au grand jour durant la querelle des investitures, entre 1075 et 1089. Les monarques du Saint-Empire romain germanique s'opposèrent violemment à la papauté, qui souhaitait contrôler l'investiture des évêques. Le conflit dégénéra rapidement, s'étalant sur plusieurs générations. Peut-être aurait-il mieux fallut pour l'empereur qu'il reste tranquille, car c'est à ce moment que le destin du Saint-Empire pris une tournure complètement inattendu.

Les aventuriers Normands, menés par Roger I d'Italie, profitèrent de la faiblesse impériale pour se bâtir un petit royaume dans le sud de l'Italie. Pire encore, Roger épousa la comtesse de Toscane, Mathilda de Canossa. Maître de près de la moitié de l'Italie, appuyé par la papauté et profitant de la révolte inespéré du Duc de Savoie, le couple conquérant marcha vers le nord. Leur victoire fut totale et les Hautevilles se retrouvèrent maître du saint-empire, se faisant au passage sacré « Roi d'Italie » et « Protecteur de la Papauté » par le saint-père.

Dans la forme, le Saint-empire romain germanique n'a que peut de rival. Mais dans la pratique, c'est un géant aux pieds d'argiles. Le royaume d'Italie et les duchés du sud de la Germanie ont reçu de pleins fouets l'invasion mongole. La nation est à feu et à sang, sa noblesse a été massacré, la fine fleur de la chevalerie normand n'étant plus que l'ombre d'elle-même. Pour ne rien arranger, la maison Hautevilles est de plus en plus contestée, les élections – truqués - successifs ayant ravivés les complots dans la cour la plus décadente de la chrétienté. Dévasté, brisé, corrompu, le destin de l'empire romain est plus incertain que jamais… Et l'élection d'un nouvel empereur, prévu dans les trois prochaines années, n'arrange rien. Est-ce la fin de l'empire, ou le début d'un nouvel âge ?

États électeurs qui composent le Saint-empire : Royaume d’Italie, Duché de Bavière, Comté de Frise, Royaume de Germanie, Duché de Bohème, archevêché de Mayence, archevêché de Trêves.

Carte des Etats électeurs:

Grand Duché de Lotharingie :

Royaume de Norvège:

Ligue Hanséatique:

Duché de Bretagne:

Royaume d'Ecosse:

Royaume de Galles:

Comté de Toulouse:

Royaume de Castille et D'Aragon:

Comtés d'Irlande:

Europe Oriental et du Nord :

Royaume de Pologne:

Duché de Lituanie:

Royaume de Hongrie:

Tribus Païennes de Scandinavie:

Balkans et Mer égée :

Empire Bulgare:

Duché de Thessalie:

Royaume d'Anatolie:

Empire Latin de Constantinople:

Afrique du Nord et Moyen-Orient:

Sultanat de Marrakech:

Émirat de Tripoli:

Sultanat Chiite du Caire:

Califat de Bagdad:

Caucase, Asie et Proche-Orient :

Royaume de Jerusalem:

Empire Perse:

Royaume de Géorgie:

Comté d'Arménie:

Mongolie et Extrême-orient :

Empire Mongol:

RaptorJesus Secrétaire Messages : 5 Date d'inscription : 14/02/2018

Voilà un rp/mv avec beaucoup de potentiel ^^ Je voudrais bien y participer en tant que Henry/Harri IV de Galles, Rex Wallia/Brenin Cymru
Nom: Henri d'Aberffraw/Harri o Aberffraw
Âge: 35 ans

Description physique:

.

Portrait psychologique:

Famille rapprochée en date de 1241:

Histoire:

Portrait du Roi Henri IV de Galles, selon un peintre du XVème siècle. Les armoiries présentes sur l'armure semble avoir été une liberté artistique du peintre, preuve d'une méconnaissance de l'artiste des armoiries personnelles du Roi de Galles

Nom : Anastazy Zielinska
Âge : 20 ans

Physique :

Psychologie :

Histoire :

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Bien, Bien, Bien, merci à vous pour la participation ^^. Encore un ou deux joueurs, et nous pourrons commencer \o/

Hussard Citoyen Messages : 3 Date d'inscription : 15/02/2018

NOM: Pierre de Dreux dit le batard
AGE: 19 ans

Physique:

Psychologique:

Histoire:

(bon j'ai pommé mon dessin donc j'ai vite fait fais celui là rajoutez un max d'épaules et un max de rousseur... de toute façon je peux pas mettre de lien apparament??? bon ça règle le problème.)

* A cette époque le père Pierre a donné le Duché à son fils pour cause d'incapacité à prendre en charge le duché.

Notes: le personnage que j'incarne n'a pas vraiment existé ou n'a jamais été reconnu, il est très probable que pierre de Dreux ait eu des batard ou des fils non reconnu mais j'ai pris la liberté de le mettre avec un minimum de pouvoir pour le rendre jouable.

En tant que MJ, je ne jouerais moi même pas un pays à proprement parler. Mais par soucis de RP, et parce que ça m'amuse, je serais représenter dans le jeu par les états pontificaux, en la personne du nouveau Pape, Alexandre II. C'est assez cohérent vu ma condition de MJ, le Pape étant sensé être un peu "au dessus" des souverains de ce bas monde. J'agirais ainsi directement dans l'univers tout en gardant une certaine hauteur par rapport à la situation global. Au niveau du RP ça ne changera pas grand-chose pour vous, c'est juste que durant les discussions RP ou autres event, je serais représenté par ce gentil pontife. Enfin bref, voici donc la fiche de ce cher Vicaire de dieu Twisted Evil

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Nom : Samuel Sadelius, dis « Alexandre II »
Age : 34 ans

Représentation Moderne du Pape Alexandre II:

Physique :

Personnalité :

Histoire :

vosdaronnesellesboiventdu Citoyen Messages : 3 Date d'inscription : 14/02/2018

Royaume d'Arménie

Présentation du Roi Gagik III d'Arménie:

Histoire:

Psychologie:

Évènements majeures en Méditerranée

Avviso du Février de l'an de grâce 1241

Fin du Conclave :

Après plusieurs jours de délibération, l’affaire est enfin close. La fumée blanche c’est finalement élevée depuis le Palais Pontifical, annonçant l’élection d’un nouveau Pape : le Vicarius Christi Alexandre II, plus connu sous le nom de Samuel Sadelius. Plus connu des Cardinal du Conclave, celui-qui était jusqu’alors Évêque d’Albano a été élu par acclamation, devenant ainsi un des plus jeunes souverains pontifes de l’histoire. Favori de son prédécesseur controversé, le fameux Benoît V, il a hier été sacré évêque de Rome, par le cardinal et évêque d'Ostie Fransesco Orsini.

Aimé du petit peuple de Rome et proche des nobles de la cité, le nouveau souverain pontife doit néanmoins faire face à une situation difficile, après les ravages causés par la récente déferlante des Hordes mongoles. Dans un discours endiablé à ses confrères évêques et à la cour du Vatican, il a rappelé son souhait d’une chrétienté unis sous la bannière du seigneur, pour faire face à ses jours sombres, dans une Europe menacé par les armées de l’Antéchrist. Le Duc de Naples Henry, frère du roi d’Italie et Saint-Empereur Frederic III, a été parmi les premiers à acclamer le nouveau Pontife, aux cris d ‘Habemus Papam, bientôt suivit par la foule de romains présent pour l’occasion, annonçant d’ors et déjà la nature des relations a venir entre le Saint-siège et le Saint-Empire...

Dans son allocution à Rome et au monde, le nouveau Vicaire à notamment annoncé l’annulation de la Bulle Orthodoxa haeresi, ramenant de facto l’église orthodoxe dans la légalité, et annonçant notamment la création de l’Inquisition, une nouvelle institution ecclésiastique munie de pouvoirs d'enquête, dites d’inquisitio, et de jugement, afin de lutter contre l’Hérésie Cathare en Europe de l’Ouest.

Le Prince de York se fait Prince de Bretagne :

Parallèlement au sacre du nouveau pape, et dans une moindre mesure, c’est un événement semblable qui a attiré l’attention des cours d’Occident ; le mariage du Prince de York et héritier du royaume de Norvège, Hendrickson Hardrada, et de la princesse Yolande de Bretagne, comtesse de Penthièvre et fille du duc de Bretagne. Marquant un claire avancement dans la réconciliation entre les deux états, le mariage s’est déroulé dans la Grande Église de Rennes, sous l’œil attentif de la famille royal Bretonne et des vassaux du Prince de York. Le Roi de Galles, Henri IV, en tant qu’époux d’une Dreux, et ami de la couronne Norvégienne, était également présent lors de l'évènement. Plus surmenant, le roi de France Charles II était également présent, en tant que suzerain de jure du prince héritier de Norvège. Celui-ci n’a d’ailleurs pas caché sa déception, et tandis qu’il était salué par la majorité des invités, le mariage a été beaucoup moins bien reçu par les Capétiens, qui perdent dans l’arrangement un potentiel allié face a leur rival nordiste.

La tension entre les deux royaumes est à son paroxysme, et aucun des belligérants ne resta plus que nécessaire dans le petit duché : Charle II par pur dédain envers son rival, le Prince Hendrickson par simple obligation, une nouvelle révolte paysanne ayant éclaté en Mercie...

Troubles au royaume de Hongrie :

Touché par l’invasion mongol, les hordes démoniaques ayant tracé un sillage sanglant jusqu’en Croatie, le royaume de Hongrie c’est retrouvé fortement fragilisé. Les crises de folie répétés du roi Belia Ier n’aident évidemment absolument pas à la stabilisation de la couronne, si bien que le royaume est dans un état d’anarchie complet ; Dans les campagnes, le pillage est devenu habituel, les masures brûlées, les femmes violées, le bétail volée.

Les compagnies franches et les hordes paysannes se multiplient dans la région, venant des Carpates et de la Germanie voisine pour la plupart. Le commerce avec les régions avoisinantes se retrouve fortement entravé, notamment avec le royaume de Pologne au nord, lui aussi peu épargné par les pillards.

Les « Chiens noires », notamment, un groupe de plusieurs milliers de mercenaires directement engagé par le Duc de Pest, se sont rapidement affranchis de la tutelle du noble, pillant sans vergogne la Bosnie hongroise et la Serbie voisine, empiétant même sur les terres du Duché de Thessalie.

Sous l’objectif officielle de ramener l’ordre au sein de ces terres chrétiennes, le Duc de Bohème Siegfried a d’or et déjà annoncé l’envoi d’une expédition armée dans la région. Mais tous savent bien que ce n’est la pour le prince-électeur qu’une façon d’accroire son pouvoir et sa richesse sur le dos d’un de ses frères chrétiens, alors que l’élection d’un nouvel empereur se fait de plus en plus proche…

Révolte à Edesse :

L’Orient n’est pas en reste en matière de trouble, et les diverses nations sunnites sont peu être encore plus divisé que ne l’est la chrétienté. Exemple flagrant de cette situation précaire, l’émir Buzan d’Edesse vient de se rebeller contre le Califat Abbaside de Bagdad. Région clé, situé à la foi entre l’Anatolie, l’Arménie et le royaume de Jérusalem, Edesse a toujours été source de tension, et cette nouvelle révolte au nez et à la barbe des Calife n’améliore en rien la situation.

Les dissensions entre les seigneurs du nord de la Syrie et leur maître Arabe ont toujours été nombreuses, les peuples du levant n’ayant jamais vraiment accepté la domination arabe. Les pillages mongoles en orient et la récente prise d’indépendance de l’Empire Perse Zoroastrien n’ayant bien sûr rien arrangés.

Les forces d’Edesse sont néanmoins peu nombreuse face aux vastes armées que peu déployer le califat de Bagdad, et cette révolte soudaine ne restera sans doute qu’un détail dans les pages de l’histoire. A moins, bien sûr, qu’un belligérant inattendue ne profite de la situation pour s’étendre vers le levant ; du Saint royaume de Jérusalem, au royaume normand d’Anatolie, en passant par les miaphysites d’Arménie, jadis conquérant de la Cilicie, qui sait quels armées pourraient être amené à ce rencontrer sur le champ de bataille...

Messieurs, le RP/MV est Officiellement commencé ! N'oubliez pas de respecter l'ordre de passage (par date de post d'inscription) indiqué plus haut. Sur ce, bon jeu à tous Very Happy

RaptorJesus Secrétaire Messages : 5 Date d'inscription : 14/02/2018

Février de l'an de grâce 1241: Royaume de Galles

Une légère pluie s'abattait sur la cité de Cardiff en cette journée de février... L'hiver avait récemment relâcher son emprise sur la région, les montagnes de neige et les confortables températures venant confirmer son départ. Dans les rues de la petite capitale galloise, la population vaquait à ses occupations avec une énergie nouvelle, comme ci la hausse de température les avait sortit de la torpeur qu'il avait fait preuve pendant la saison froide. De nombreux étalages vendant des produits de la mer, des objets de confections artisanales et des biens des fermes alentours avaient poussé dans les étroites rues de Cardiff. Plus loin, il était possible de déceler deux structures se détachant du lot par la taille... Il y avait tout d'abord une importante structure pas tout à fait terminé, mais qui laissait deviner la présence future d'une imposante cathédrale en pierre, celle de St-David de Cardiff qui avait été commandé par le roi il y a quelques années depuis. Et parlant du roi, sa résidence personnelle et sa cour, un château installé sur une colline, donnait l'impression qu'elle dominait le bourg et la région d'un œil attentif. Une procession de gens montés à cheval, en carrosse ou à pied se dirigeait d'ailleurs vers ce fameux châteaux. C'était nul autre que le roi Henry IV, sa famille et son entourage qui revenait du mariage entre le prince Hendrickson de York et la princesse Yolande de Bretagne. De part les liens du sang entre les deux familles concernées par les épousailles, le souverain gallois s'était fait un devoir d'assister à l'union entre les de Dreux et les Hardrada. Cela fut d'ailleurs l'occasion pour Henri de renouer des liens entre le Pays de Galles, la Bretagne et la Norvège malgré la tension qui régnait pendant les festivités dû à la présence surprenante du roi français. Le roi gallois et sa suite finirent tout de même par partir les festivités terminés, soit quelques jours après le départ du prince de Norvège partit mater des rebelles dans la région de Mercie. Cela inquiétait d'ailleurs Henri, ses gueux dissidents se trouvant dangereusement proche de la frontière anglo-galloise. Néanmoins, à son arrivée à Cardiff, les nobles des régions de l'Est ne rapportèrent aucun signe d'un potentiel soulèvement paysan de leurs côtés de la frontière... Même les garnisons des châteaux de l'est du pays n'avait dénoter aucun mouvement de potentielles armées paysannes proche du royaume. Cela avait don de rassurer le roi, mais il garderait tout de même un œil attentif sur l'évolution de la situation, histoire d'éviter tout débordement de situation.

Réunion du conseil royal, quelques jours plus tard...
Henri avait fait réunir ses conseillers (chancelier, chapelain de cour, maréchal, etc...) afin de discuter de la gestion du royaume, mais surtout pour traiter d'une situation particulière... En effet, un baron anglais accompagné d'un cortège de quelques dizaines de piétailles piètrement armés avait tenter de traverser la frontière galloise pour des motifs qui étaient alors inconnus... Leur présence fut tout de même repérer relativement rapidement par des gardes en patrouille qui ont procédé à leurs arrestations. Ils se montrèrent étonnament docile et leur chef, le baron Edwin de Stratford, demandait tout simplement une audience avec le souverain de Galles. Après une période plus ou moins longue, sa demande fut accepté par le chef de la garnison et il fut apporté devant le roi à Cardiff. Ayant reçu audience, le baron déposa alors sa requête devant le souverain : il demandait au nom d'une faction indépendantiste de la Cour anglaise un possible soutien dans la lutte à venir contre l'occupant norvégien en passant tout d'abord par une aide matérielle et potentiellement militaire aux paysans rebelles de Mercie. Le baron osa même dire que, au nom de sa faction, il serait prêt à faire couronner Henri roi d'Angleterre en cas de victoire... Connaissant bien la valeur des paroles anglaises de part ses ancêtres et outré par ses demandes qui faisait en sorte qu'il devrait trahir les pactes signés entre les Couronnes norvégiennes et galloises qui avait apporter paix et prospérité, Henri fit jeter le baron et ses retenues dans les cachots. En somme, le Conseil du roi gallois s'était réuni principalement afin de décider de l'approche à prendre... Faudrait-il relâcher le baron et lui permettre de retourner se battre pour sa cause? Le remettre aux Norvégiens? Le garder aux fer jusqu'à ce qu'il soit juger par une Cour de justice? Le débat ne fut pas entièrement terminé et le roi n'avait pas encore donner un avis clair sur la question à la fin du mois. La décision devra tout de même être prise, un envoyé de Trondheim devant arriver d'ici le début du mois de Mars pour des raisons non spécifiés.

Représentation de l'arrivé le 20 Février 1241 du baron anglais Edwin of Stadford devant le roi Henri IV de Galles afin de demander un possible soutien à un soulèvement de plus grande importance en Angleterre.

Enguer Citoyen Messages : 4 Date d'inscription : 05/03/2018

Nom: Arthur Hardrada dit "le lion" ,roi du royaume du Norvège
Age :40 ans

Description Physique : Arthur mesure 1,87 m et 90 kg.Il a les yeux bleus couleurs océans .Il a une barbe et des cheveux bouclés .C'est un homme assez musclé avec des cicatrices partout sur son corps . Mais l'age fait des ravages et comme tout homme Arthur montre des signes de faiblesses .Il commence à boiter et ne peut plus vraiment se battre sur les champs de bataille .

Description psychologique : Avec l'âge ,le guerrier qu'était Arthur a laissé place à un stratège rusé et roublard .Il est ambitieux et tres à l'intention de son peuple .Même si Arthur est de religion catholique ,il a gardé des traditions scandinaves .

Histoire :Née en 1201 ,Arthur passera les 15 premières années de sa vie en Norvège .Étant le premier fils de Harald VI ,il est élevé comme un souverain .Il apprends à lire ,à écrire ,à manier les armes . Il a deux frères .Le premier est Knut ,il n'a que 2 ans de différence avec Arthur ,ils sont très proches et il n'y a jamais eu d'animosité entre eux . Knut adore naviguer et sera nommer Chef de la flotte du Royaume de Norvège quand Arthur est couronné roi . Le second est Oskar ,ils ont 11 ans de différence .Ils s'entendent bien mais n'ont pas les memes relations qu'avec Knut .Revenons à Arthur ,Apres ces 15 ans ,il rejoint son pere en Angleterre et en Normandie .Il se bat à toute les campagnes aux cotés de son père et de son frère Knut .C'est durant cette période qui se marie avec Elizabeth du Wessex ,héritière d'une vielle et respectée famille de nobles anglais .Les nobles scandinaves soutiennent Arthur dû à ses prouesses sur le champs de batailles et les nobles anglais et normands en majorité apprécient Arthur depuis son mariage .En 1229 ,il devient le roi du Royaume de Norvège à la mort de son père .En tant que roi ,il essaie de prendre soin de son peuple .Grace à d'habilles mouvements diplomatiques ,il se rapproche du Royaume du Pays de Galle et du Royaume de Bretagne .Son but est d'agrandir l'influence et d'assurer la force du Royaume de Norvège et de léguer à son fils un royaume stable .

Famille rapproché en 1241 :-Hendrickson Hardrada fils d'Arthur et sa femme ,la princesse Yolande de Bretagne
-Knut ,le frère d'arthur et sa femme Agnetha
-Meredith de Norvège, épouse du frère du Roi Arthur , Oskar de Norvège (29 ans)
-Fridtjof ,fils de knut (20 ans )
-Kaysa ,fille de Arthur (16 ans )
-Ludvig ,second fils de arthur (6 ans)
-Krista ,seconde fille de Arthur (10 ans)

Hussard Citoyen Messages : 3 Date d'inscription : 15/02/2018

Cette nuit là… je n’ai jamais aussi bien dormis de toute ma vie, cette nuit là, c’était celle du mariage de ma demi-sœur Yolande, un mariage incroyablement beau et brillant, moi qui malgré ma « fausse noblesse » avait été habitué à une vie plutôt rustique étais émerveillé. En plus les personnalités présentent m’ont fascinée malgré la tension présente en cette journée. Effectivement le roi de France présent en tant que souverain de jure du roi d’Angleterre n’a pas manqué de présenter son mécontentement totale à cette union, tension calmée par la cérémonie en cette douce après midi. Et puis après la cérémonie fatigante et ennuyeuse… est venu le gros de la cérémonie ! le repas ! je me suis empressé de laisser la haute noblesse pour rejoindre les petits seigneurs et chevaliers au grand damne de mes parents et de ma fraterie, j’ai tellement bu et joyeusement fait la fête qu’on est allé me rechercher dans la caserne des gardes alors que je m’enfilais une dernière chope avec le sergent en fonction et un chevalier Français et un autre Norvégien, on se comprenait à peine mais qu’est-ce qu’on a ri, puis je me suis endormi… je ne sais pas trop où, quand je me suis réveillé j’étais dans un bon lit douillé, à côté de moi dans un petit couloir mon frère et mon pères parlaient de quelques choses, j’vais tellement mal à la tête que j’ai à peine entendu ce qu’ils disaient, j’ai juste compris que mon père se plaignait de mon comportement trop « roturier » et mon frère se plaignait que je tachais l’image de notre grande maison, il a également dit que je parlais tout le temps d’une certaine Anastazy alors que j’étais soul, sans vraiment faire un rapprochement avec la reine polonaise, par contre mon père à contrario avait parfaitement compris et je craignais une sacrée réprimende.

Comme je le pensais, la semaine suivante mon père m’a demandé de venir en privé dans sa chambre, il me cogna une droite et me dit « Mais bon dieu tu n’es qu’un fils de paysanne, tu n’es issue de la noblesse que de par moi ! soit tu fais partie de la famille mais je ne te considère pas comme l’égal de tes frères et sœurs, et explique moi comment un Dreux pourrait arriver à courtiser une reine Polonaise, espèce d’inconscient, imagine la honte d’une demande en publique quasi surement refusée !!! je savais que je n’aurais jamais du te faire faire cette course diplomatique» je me suis en allé sans rien dire effectuer mon entraînement à l’épée habituelle avec des gardes et le maréchal de mon père qui était présent. avant de me retourner dans mon domaine… mon cœur se brisait quand je revenais à la réalité, un pauvre homme comme moi, un faux noble ne pourrait courtiser cette merveille de la nature.

Quand à la tension grandissante, mon statue ne me permettait pas de tout savoir, et j’y voyais bien flou dans ces histoires de famille. J'ai passé un mois habituel à visiter tranquillement les villages de mon domaine, à gérer quelques problèmes et à venir régulièrement m'entrainer avec le sergent d'arme de la garde de mon père, qui ne manqua pas de me mettre un misère à chaque fois, ou bien à aller aux tavernes avec mes amis...

Enguer Citoyen Messages : 4 Date d'inscription : 05/03/2018

Février de l'an de grâce 1241 :Royaume de Galle

Le vent d'hiver commençait à partir sur les plaines d'Angleterre .Après le mariage de son fils ,le Roi et sa suite partirent vers l'Angleterre .Mais Arthur était énervé .Au mariage ,il avait rencontré le roi de France .Charles II avait toujours cette lueur dans ces yeux .Pour le Norvégien ,le roi de France veut conquérir ses territoires et déteuire son royaume . Pour Arthur ,il fallait se préparer à la guerre .
Il reçut une autre mauvaise nouvelle ,la Merci commençait à se révolter ,il fallait rentrer vite .

Le Roi et sa suite partirent le plus vite possible .Ils passerent par la Normandie pour deux raisons :
La première est que une petite armée de 1 000 hommes ,s'etait rassemblée et attendée les ordres du roi et que Angleterre dans les alentours de New haven ,3 500 hommes ,venus de tout les coins du Royaume , se sont rassemblés pour se préparer à combattre les révoltés.
La deuxième raison était simple ,Arthur voulait "ces gaillard "comme il aimait les appeler ."Ces gaillards " sont les nobles normands ,ils aiment les voir et s'assurer de leurs loyautés .Il a un profond respect pour eux .

Apres son passage en Normandie (qui dura quelques jours ),le roi et sa suite partent vers l'Angleterre .La réunion du conseil royal se fait durant la traversée de la Manche .
Arthur venait d'apprendre qu'un Lord était allé chercher de l'aide auprès du roi de Galle qui l'aurait mis au cachot . Arthur décide d'envoyer son frère ,Oskar chez le Royaume de Galles pour remercier le roi d'avoir envoyer le noble au cachot et lui demandera de lui remettre ou du moins essayer d'avoir des informations .
Arthur et son fils ainsi que son neveu Fridtjof prendront le commandement de l'armée de soumission pour aller calmer la révolte en Merci .
Arthur décide d'envoyer des messagers partout Europe pour former des traités commerciaux (même en France )
Mais certains messagers ont des missions supplémentaires . Un messager est envoyé au Vatican pour féliciter le nouveau Pape et de lui apporter son soutien et de demander de l'aide de moines catholiques et de l'or pour aller prêcher la bonne parole dans la scandinavie païenne .
Un autre est envoyé en Aragon pour signer un pacte de défense car les hispaniques sont les défenseurs de la chrétienté face aux Maures .
Un autre est envoyé dans le comté de Toulouse ,le Roi de Norvège invite le comte à sa cour pour discuter et souhaiter qu'une relation amical naissent entre eux .
Un autre est envoyé à la ligue Hanséatique pour affirmer son soutien et peut être signer former une alliance .
D'autres messagers sont envoyés en Pologne et en Lituanie pour former des pactes de défense avec ces pays qui sont les boucliers de l'Europe contre les monghols .
Enfin un messager spécial est envoyé en Écosse ,Le roi de Norvège veut rencontrer le Roi d'Écosse et est pret à se déplacer si besoin .
Pour finir ,Arthur lance un grand plan de conquête de la scandinavie Païenne .Son frere Knut sera le superviseur de cette conquête ,des moines sont envoyés pour convertir le peuple et un appel dans tout le royaume et même dans les royaumes voisins (comme le duché de Bretagne ou le Royaume de Galles par exemple ) la recherche d'aventuriers en quete de gloire et de richesse pour aller conquerir ces lopins de terres .La seule condition est de jurer allégeance au Roi de Norvège .
Knut a 2 mois pour former ses troupes et commencer la conquête .

Une fois arriver en Angleterre et les ordres transmis ,Arthur et son armée décident de partir vers les insurgés .

Février de l'an de grâce 1241 : Royaume de Pologne

La neige tombait et recouvrait les terres autour du palais royal de Cracovie. Dans la salle de réunion, près de la salle du trône, étaient assis à une table ovale les conseillers de la Reine de Pologne. Cette-dernière, disposant d'un siège particulièrement grand et décoré, demandait comme souvent conseil à ses sous-fifres concernant les décisions à prendre :
- Alors, que devrions-nous faire ? demanda-t-elle, avec un air innocent et enjoué, comme d'habitude.
- Eh bien, commença son principal conseiller Jozef Sirinski, le Royaume de Hongrie sombre dans le chaos, saccagé par des hordes de brigands pillant et détruisant tout sur leur passage. En plus de déstabiliser ce pays déjà très affaibli par l'invasion mongole, ces infidèles sortent des frontières hongroises, pour répandre la terreur en Croatie, en Thessalie ... Et ils commencent à ravager le sud de la Pologne, votre majesté.
- Je vois, voilà une bien mauvaise nouvelle ... commenta la Reine, d'un ton attristé dont il était difficile de déterminer s'il était ironique ou pas.
- Votre majesté, nous devons combattre ce fléau envahissant notre territoire, n'est-ce pas ?
- Je suppose que nous devrions envoyer des troupes arrêter ces brigands en effet ... Faisons appel au Teutoniques, ils devraient nous aider n'est-ce pas ? Ces sauvages se comportent comme des infidèles après tout.
- Ah euh, certainement votre majesté ...
- Mais vous ne pensez pas qu'il faudrait également ces pauvres Hongrois vivant dans la terreur de la mort et des pillages ?
- Ah, comment ça ?
- Il faut envoyer des troupes les aider, on ne peut laisser ces pauvres civils dans cette situation !
- Ma foi, vos désirs sont des ordres votre majesté, dit-il en inclinant la tête, tentant de dissimuler une petite grimace.
- La Norvège nous a envoyé un message, annonce soudainement le conseiller spécialiste de la diplomatie Ludwik Woloski. Elle nous propose un pacte de défense, dirigée contre les Mongols. Une proposition similaire aurait été adressée à la Lituanie.
- Evidemment que nous acceptons, nous ne refusons jamais l'opportunité de nous faire de nouveaux amis ^^. Tâchons de nous en faire encore plus en envoyant nous aussi quelques diplomates.
- Dans quels pays votre majesté ?
- Je ne sais pas, le Royaume de Galles, la France, la Thessalie, la Lituanie ...
- A vos ordres votre majesté, je m'en occuperai
- Bon, conclut Sirinski, je pense que le conseil royal vient de prendre toutes les décisions importantes, pouvons-nous disposer votre majesté ?
- Bien entendu, au revoir ^^.

Les conseillers se levèrent et quittèrent la pièce, la Reine regagnant sa chambre royale. Après avoir fermé, elle se mit à parler pour elle-même, d'un ton glacial :
- Pour qui se prend-il, cet odieux "conseiller" ... Déclarer soi-même la séance terminée, ordonner à la Reine d'approuver et d'y mettre officiellement fin ... Il n'a jamais manqué de culot, mais ce sous-fifre des Teutons semble avoir dépassé les bornes. Il peut être sûr que les jours restants de sa belle vie dans ce palais sont comptés ...
Elle s'avança jusqu'à son lit et se laissa tomber sur le dos, les bras levés, arborant un sourire pour le moins inquiétant.
- Ce n'est plus qu'une question de temps ... Après la Hongrie, qui sait qui d'autre j'envahirai ... Ces fichus Teutoniques vont bien me servir, je devrais les remercier de combattre pour la Pologne et de verser leur sang pour accomplir mes petits projets ... Mais, malheureusement pour eux, toutes les bonnes choses ont une fin ...
Le monologue de la Reine s'acheva sur des gloussements de plus en plus forts, qui finirent après quelques dizaines de seconde par s'estomper, pour laisser à un silence tranquille, balayé à l'extérieur des murs par le vent hivernal.

**Vladou** Administrateur Messages : 4 Date d'inscription : 14/02/2018

(Eh ui je reviens tel un squatteur)

An 1241, duché de Thessalie, Palais de Larissa

Meme en hiver, il faisait un véritable soleil de plomb à Larissa, capitale temporaire du duché de Théssalie et bastion depuis lequel Alexandros dralek, le tyrannique autoproclamé "Basileus Ton Rhomanion" établit ses sombres desseins pour les balkans....
Autour d'une unique table éclairée uniquement par des lampes à huile, le doux et ses lieutenants discutent de l'épineux probleme posé par les pillards hongrois. Après quelques minutes de débats, le doux prit la parole, d'une voix calme et d'un regard noir, le visage uniquement éclairé par la huileuse flamme qui dansait au centre de la table:
-"Messieurs, les problèmes causé par ces.....fieffés brigands m'agace au plus haut point dans mes plans" dit-il d'un ton glacial.
C'est ainsi qu'un de ses conseillers prit la parole.
-"Q-quels sont vos ordres ?"
"Gérez le pays en mon absence. Je pars des aujourd'hui avec 3000 hommes dans le Nord. La Hongrie sombre dans le chaos, il serait intelligent de profiter de sa faiblesse après avoir exterminer ces imbéciles qui se croient permis de défier la seule personne à ne pas défier" rétorqua t-il, un sourire malsain se formant sur son visage."
-"A-a vos ordres votre majesté. Nous préparons vos troupes"

Quelques heures plus tard, une petite armée de 3000 âmes commandée d'une main de fer par le meilleur stratège du monde connu fit route vers le Nord, telle une légion maudite venue des enfers, l'étendard noir et rouge sang des draleks flottant au vent et arborant de terrifiantes armures noires. Au fur et à mesure que l'armée s'avançait à l'intérieur des terres, plus le sol devenait blanc, couvert par un épais manteau neigeux, le blizzard rendant ces démoniaques troupes toujours plus menaçantes, les bandits et les hongrois ne se doutaient pas de ce qui allait leur arriver.

(déso si c'est court ,je me rattraperais plus tard)

vosdaronnesellesboiventdu Citoyen Messages : 3 Date d'inscription : 14/02/2018

Février de l'an de grâce 1241 : Glorieux Royaume d'Arménie

Le soleil venait à peine de se lever que Gagik III quittait sa tente pour aller, seul, dans les bois de Dalar. La climat était atroce, le blizzard soufflait de toute part mais cela ne gênait aucunement le roi qui avançait avec bravoure au milieu de son campement délabré. Ses habits et sa fervente passion pour le raki le protégeaient très efficacement du froid. Il avait l'habitude d'apporter une dizaine de petites bouteilles de cet alcool qu'il rangeait soigneusement sous la selle de son arabe vieillissant. La légende raconte que ce cheval avait sauvé la vie de son maître lors de la bataille contre les Abbasides en le traînant jusqu'au derrière du front.
Il traversa ainsi plus d'une trentaine de ghalva, jusqu'à ce qu'il arrive au monastère de Khor Virap. Il descendit brusquement de son cheval et ne prit même pas la peine de l'amener à l’écurie. Le Catholicos Constantin Ier l'attendait à l'entrée du monastère avec un air très menaçant. Dès qu'il le vit, le pieux hurla des insultes en arménien avant de s'avancer à grands pas vers le monarque, croyant lui faire peur.

"Votre venue était prévisible, mon fils, voulez vous encore piocher dans la trésorerie de Dieu ? Voulez vous encore appauvrir nos fidèles en leur soutirant le seul bien qu'ils possèdent ?" dit-il d'un ton indocile
Gagik le regarda dans le yeux pendant une dizaine de secondes, un blanc terrifiant s'installa entre les deux interlocuteurs. Son regard intense a fini par apeurer le patriarche qui recula alors subitement de deux pas. Le visage du roi était hanté par une expression perverse, un mélange de désir et de sadisme. Il prit alors par le cou le croyant avec ses mains noircies et commençait à serrer sa gorge de plus en plus fort. Les moines aux alentours observaient la scène avec impuissance et certains se retiraient même du monastère. D'un coup il le relâcha et chuchota à son oreille:
"Pouvez vous me répéter la raison de ma venue, je crois ne pas avoir très bien entendu
- J-je pensais que v-vous veniez pour nous de-demander une aide financière, dit le Catholicos en mâchant à moitié ses mots
- Et bien Dieu a pour une fois pitié de vous, je voulais simplement que vous donniez une bénédiction à mon armée, qui va bientôt partir recouvrir nos terres perdues jadis à ces bêtes du Sud
- Je peux vous le promettre.. si-sire. "
Le roi se tourna directement et partit de son pas lent vers sa monture qui l'attendait sagement, tremblant elle aussi du froid insoutenable.

Événements majeures en Méditerranée

Avviso de l’Août de l'an de grâce 1241

La naissance d’une Hanse Nordique ? :

Les ravages provoqués par les hordes mongols ont relativement épargné le nord du Saint-Empire ; A l’heure ou la reconstruction des provinces du nord-est de l’Europe est la priorité de bien des nations, le pouvoir des villes-marchandes se faisaient de plus en plus fort depuis déjà quelques temps. Ses cités disposés sur tout le contour de la Baltique ont acquis une importance de premier ordre, permettant la circulation des biens à travers tout l’Europe du nord, contrôlant l’embouchure des principaux fleuves, et s’érigeant en véritable cité-états au sein des royaumes. Suivant l’exemple de la Ligue Hanséatique formé par les cité-états la Méditerranée, les villes de Hambourg, Lüberck et Visby ont signé, en ce 12 Août de l’an de grâce 1241 après Jésus-Christ, un traité pour la sécurité du commerce dans le cadre de la Hanse Teutonique. Leur objectif est simple : s’assurer le contrôle du commerce dans la Baltique et la Mer du Nord, dans le but officiel de « favoriser le commerce et l’entente entre les nations catholiques ».

Le Bourgmestre de la cité de Dantzig - cible de tension permanente entre le Royaume de Pologne et le Grand-Duché de Lituanie- , Holbein Herds, à d’ors-et-déjà annoncer son attention de rejoindre cette alliance dans un futur proche. Il se murmure également que les marchands de Copenhague et Bergen, sous la tutelle du Royaume de Norvège, seraient prêt à rejoindre cette nouvelle « Ligue Hanséatique », mais rien n’a encore filtré à ce sujet, mise à part des rumeurs…

La Croisade des Albigeois :

L’annonce est officiel. Le Pape Alexandre II à déclaré l’organisation prochaine d’une expédition contre les cathares, une Guerre Sainte contre les hérétiques qui contestent le dogme de l’Église Catholique. Tous sont invités à prendre part à l’expédition : Grands rois comme petit Barons, du plus haut-noble au plus petit-gens.
Parcourant les campagnes, plusieurs dizaines de prêtres et des milliers de pèlerins prêchent la parole de dieu, appelante les fidèles à la croisade : les cours des nobles de France, d’Italie, d’Angleterre et de Bretagne se retrouvent envahis par les clercs. Et tout comme dans le passée, l’expédition attire : Le Saint-Siège à promit moult récompenses aux « croisés », parmi lesquels la rémission de tous les péchés, ainsi que de nombreux titres pris aux hérétique de Toulouse en cas de victoire : avant d’être une guerre au nom de dieu, la croisade est l’occasion rêver pour tous les troisièmes fils et les bâtards de la noblesse occidentale d’obtenir des titres, la ou l’héritage ne peut rien leur apporter…

Le roi de France, Charles II, à déjà déclarer son attention de ne pas prendre part lui-même à l’expédition, mais à formellement autoriser, et même encourager les nobles désireux de « prouver leur dévotion à la sainte-église » à y participer. Un calcul politique avant tout, permettant de dépenser ce trop plein d’énergie, et de « purger » la cour de France, d’habitude en proie aux intrigues, en envoyant les nobles faire la guerre ailleurs. Tout catholique désireux de prendre part à la Croisade est inviter à partir de ce pas vers Reims, ou se réunissent actuellement les pèlerins et chevaliers ayant pris la croix, sous le commandement du Légat Pontificale, Bernard de Pontevoix.

Curia Regis : Cours et affaires internes des plus grands souverains

Le Complot de Stratford :

Si Edwin de Stratford complotait effectivement contre le Roi de Norvège, le Baron rebelle était décidément bien peu préparée : quasi-seul, accompagné part seulement quelques hommes d’armes, comptait il réellement convaincre le roi de Galles ? Le mystère demeure, le prisonnier ayant été relativement silencieux durant ses jours de captivité. Un émissaire du roi de Norvège n’a pas tarder à faire son apparition à la cour de Carfiff, en la personne d’Oskar, frère directe du roi de Norvège. Les termes de celui-ci sont simples : Il demande la livraison immédiate du traître à la famille royal de Norvège, ainsi qu’une réunion avec le roi de Galles afin de discuter de la situation.

Parmi la cour, les rumeurs vont bon train ; il se murmure que la révolte de Mercie pourrait avoir un lien avec tout ça, que Edwin de Stratford serait un hérétique à la solde du malin, voir même qu’il serait un lointain descendant du dernier roi Anglo-saxon cherchant à reconquérir le trône d’Angleterre en manipulant le roi de Galles ! Mais malgré toutes ses hypothèses plus ou moins farfelue, la menace d’un complot plus global contre la couronne de Norvège n’est pas à exclure :
Le comté de Stratford se situe également en Mercie, à quelques lieux à peine de la révolte paysanne,
et nombreux sont les nobles anglais à avoir déjà envoyé des lettres à la cour du Roi de Galles, afin de demander clémence pour le prisonnier, très apprécié par le reste de la noblesse de l’île. Il ne reste donc plus désormais qu’à Oskar, et au roi de Galles Henry IV de décider du sort du prisonnier...

Du coté de la révolte paysanne, l’armée menée par la famille royal Norvégienne s’est finalement réunit à New Haven. Comprenant 4500 hommes, dont un certains nombres de nobles normands (ayant la total confiance du roi), elle attends désormais l’ordre du roi de marcher sur Tamworth, subissant actuellement un siège de la part des quelques 12 000 paysans révoltés. Naturellement, les ressources s’en retrouvent affecté, et nombreux sont les nobles à se peindre de ne pouvoir récolter la dîme dans ses conditions, demandant une intervention rapide du roi.

Diplomatie à la Norvégienne :

Le roi de Norvège est sans doute le souverain le plus diplomatiquement active du Vieux Continent. Ses messagers ont voyages aux quatre coins de l’Europe, rapportant finalement à New Haven des messages mitigés. Du coté de la la Ligue Hanséatique Méditéranéenne, la réponse est ambigu : le Dogue se montre favorable à un rapprochement entre les deux nations, mais rien de concret n'est signé avec son le Lion du Nord. Du coté de l’Est, une alliance est accepté à la fois par le Royaume de Pologne et le Royaume de Lituanie : mais le message de ce dernier, trait directe comparé à l’élégant message de le reine de Pologne, fait néanmoins comprendre aux Norvégiens qu'en cas de guerre Lituano-Polonaise, le roi devra choisir son camp et ne pourra rester ambigu.
Au niveau régional, une rencontre entre les deux souverains est accepté par le roi d’Écosse, Duncan 1er, mais ce dernier préfère attendre une pacification de la région avant toute chose.

La Croisade Albigeoise :

Au sud, c’est la toute nouvelle Croisade contre les Albigeois qui monopolise l’attention. Le Saint-siège répond favorablement à le demande du Roi de Norvège, et accepte d'envoyer une commission de moine en Scandinavie afin de prêcher la parole du seigneur. Toutefois, la réponse du pape est aussi claire qu’affable : Le conclave n’acceptera de donner de l'or au Lion du Nord que si le roi de Norvège refuse toute alliance avec l'hérétique Comté de Toulouse, et s’engage à ce qu’un membre de la famille royal lui-même participe à la Croisade.

[MV/RP] Deus Lo Vult Croisadealb1

Parallèlement à cela, le roi d’Aragon, soutiens non-officiel du comté de Toulouse (qu’il compte bien arracher des mains de l’influence française) accepte une rencontre avec le roi Arthur pour négocier une alliance, accompagné dans cette initiative par le Comte de Toulouse lui-même. Le rendez-vous est fixé dans les prochaines semaines, ou le souhaitera le souverain Nordique.

Les Guerres des Rois fous :

Après le sacrement « remarquer » de l’armée du roi Gagik III d’Arménie, forte de 3500 chevaliers, celle-ci s’est mis en route à travers les montagnes du Caucase, avec pour destination final la cité d’Edesse. Le chemin, bien que cours au premier abord, se montre plus dangereux que prévu : le soleil de l’été se fait de plus en plus violent, et les passes des montagnes sont le lieu d’affrontement constant entre les forces du roi, victorieuses malgré les pertes, et celles des tirailleurs turcs.
Après quelques semaines de marche forcée, et sous les conseils de ses vassaux, le roi décide faire escale dans la cité oriental de Samosate, facilement conquise, et d’où les troupes du roi peuvent faire le plein d’équipement et de vivres sur le dos des populations locale.

Mais malgré la guerre, le « front-uni » que pouvait espérer le roi semble ne pas faire effet. L’attitude brutal du roi envers les clercs locaux, respecté, irritent certains vassaux les plus zélés, qui contestent la décision du roi d’ingérer dans les affaires arabes au lieu de régler les problèmes internes du pays.
Le mécontentement grandit dans le camp, et alors qu’Edesse n’est même pas encore en vu, un messager bien particulier se fraye un passage dans la tente du roi : un messager du roi des Normands en personne, proposant au roi une alliance afin de vaincre l’ennemi commun, et de se partager le comté d’Edesse…

***
Sous les ordres de la reine Anastazy, c’est 1000 chevaliers teutoniques, accompagné par quelques 2000 chevaliers Polonais, qui ont finalement quitter la capital royal pour s’aventurer vers la Hongrie ; Les chevaliers se dirigent actuellement vers la Silésie, ou aurait été aperçu de nombreux groupes pillards. Mais plus préoccupant que la situation au sud, ce sont les intrigues étrangères qui intéressent le plus les nobles de la cour : aussi bien la récente alliance entre la Pologne et la Norvège, que la création de la récente Ligue Hanséatique, sont les préoccupations qui attirent le plus l’intention du conseil. Certains y voit une occasion rêver d’enfin faire plier le genou à Dantzig, verrou du commerce dans la région…

***
Partis de Larissa, les 3000 hommes menés par Alexandros Dralek se lancèrent dans une traque infernal contre les « Chien Noires », fameux brigand ravageant la région et ayant pour l’instant échappé à la colère du Basileus. La poursuite dura plusieurs semaines, le temps de réunir les ost et de les faire marcher vers la frontière, quelques semaines qui suffirent à l’été pour s’installer dans les Balkans. Les éclaireurs envoyés par le Duc repérèrent rapidement les intrus, fort peu discret : ils ne laissaient derrière eux que pillage et massacre, attisant chaque jour la colère des soldats.

C’est arrivé à Belgrade, en plein pillage, que le Basileus put constater l’ampleur des dégâts : La panique était totale dans la citée ! Les premiers brasiers commençaient à poindre ici et là dans Nuln alors que les Chiens Noirs, profitant d'un effet de surprise quasi total, déferlaient sur la ville en proie à la panique, tuant, brûlant, détruisant tout sur leur passage telle la lame de fond d'une marée de vermine. Déjà, les premiers habitants, les plus chanceux et/ou les plus vifs (suivant le poids de leur bourse, pour certains) gagnaient les rives du Danube en vue de s’enfuir via les eaux du fleuve. Les cris rendaient l'air pesant, déjà alourdi par la fumée et l'odeur du sang qui emplissait certaines ruelles. C'est sur cette vision d'apocalypse digne d'une Fin des Temps qu’arriva l’avant-garde de l’armée royal, mené par le Basileus en personne : si le roi était arrivé trop tard pour sauver la ville du pillage, il avait ici l’occasion rêver d’encercler les mercenaires dans la cité, et de mettre une bonne fois pour toute fin à leurs ignominies...

**Vladou** Administrateur Messages : 4 Date d'inscription : 14/02/2018

Aout 1241, Belgrade, province théssalienne de Serbie

Sous un soleil de plomb, l'armée du Basileus autoproclamé atteignit Belgrade. Le spectacle que les soldats virent était abominable: La ville, en plein pillage n'était que ruine et désolation, comme si la mort elle-même était venue faucher une ville entière, aidée de ses hordes infernales. Pour Alexandros, la situation n'était rien de plus qu'une occasion inespérée. Avec son état-major, il grimpa sur une colline surplombant la ville pour y observer le spectacle. Aussitôt arrivé au sommet, il mit pied à terre, s'avança avec grande satisfaction et s'exclama:

"Messieurs, le seigneur (ainsi soit-il) nous a offert, après une longue traque une occasion formidable pour percer l'animal en plein cœur."
Il reprit:
"Voyez-vous messieurs, l'effrayant spectacle que vous voyez devant vous n'est rien de plus que notre proie, ce petit cabot noir,pensant trouver une délicieuse friandise, tombée dans un piège des plus simples tendu par le chasseur, c'est à dire moi !" finit-il avec un fort grand sourire carnassier sous les rires gras de son état-major.
"Mes chers amis, rajouta-t'il , nous allons encercler cette ville et entamer un siège de la faim contre ces vils brigands. Voyez-vous, il m'est arrivé de lire "La Guerre des Gaules" de Julius Caesar. et, voyez-vous, j'ai été fasciné par la méthode avec laquelle il a assiégé puis prit Alésia. Je souhaite donc reproduire le même schéma dans une version simplifiée. Nous allons construire, tout autour de Belgrade une, une séries de fortifications de campagnes composées de la façon suivante il se retourne vers la ville :

"Nous établiront une série de fortifications en bois (des palissades+ tours de garde) tout autour de la ville, repliées vers l'intérieur (en gros on "vise la cité") . Ensuite, devant ces dites fortifications, nous creuseront des fossés que nous combleront avec des pieux. Puis nous creuseront un dernier fossé rempli de pieux que nous cacheront avec des branches friables qui crouleront sous le poids des unités de brigands si jamais ils tentent une sortie. Pour finir, nous creuseront une série de petits entonnoirs avec des pieux à l'intérieur que nous recouvriront aussi. Inutile de rajouter que nous recruteront de force la population locale pour bâtir ces fortifications, nos guerriers protégeant les travaux. "

Ainsi se finit cette réunion de fortune. Sous les pas cadencés de la fort disciplinée armée théssalienne, Belgrade fut encerclée et les travaux commencèrent. Sous sa tente, Alexandros lisait une missive que lui avait envoyé la reine de Pologne, missive qu'il ne reçu que très tard compte-tenu de sa campagne, un messager l'ayant apporté dans l'après-midi. Ainsi, ayant eut vent de l'expédition polonaise en Hongrie, il écrivit à la Reine Anastazy:

"Ma très chère amie catholique, j'ai eu vent, grâce à mes messagers que vous organisiez une expédition en Hongrie pour certainement rétablir l'Ordre (teutonique, lol). J'ai aussi eu vent de votre envie d'améliorer vos relation avec la Théssalie. Nous pourrions, si dieu le veut, organiser, en Terres hongroises, après un jonction entre nos deux armées une rencontre entre nos veux dirigeants pour organiser une intervention mutuelle en Hongrie et, bien entendu, se partager le gâteau.
Votre obligé, Alexandros dralek, Basileus Ton Rhomanion. "

Ainsi il envoya un messager transmettre ce message à la Reine de Pologne, directement à Cracovie, avec un escorte de 12 cavaliers.

Août de l'an de grâce 1241 : Royaume de Pologne

Par cette belle journée d'été, la reine Anastazy se baladait à cheval dans le domaine verdoyant entourant le château royal de Cracovie, accompagnée comme d'habitude de sa petite garde rapprochée elle aussi à cheval. Alors que la longue chevelure de la souveraine traînait dans l'air, secouée par le trot, son auguste poitrine rebondissait à intervalles réguliers. C'est alors qu'un garde approcha et annonça à la reine la venue d'un message étranger. Celle-ci, camouflant sa colère d'être interrompue dans son loisir sous un sourire aimable, revint au château jusqu'à sa salle du Trône, où le message lui fut transmis.
- "Votre majesté, un messager envoyé par le Duché de Thessalie nous a délivré une missive écrite par le Duc Alexandros Dralek en personne" annonça un sous-fifre du palais.
- "Mmmh ... Et que dit-elle ?" demanda Anastazy.
Le sous-fifre ouvrit le parchemin et lut à voix haute le message.
- "Eh bien, cette proposition est très intéressante, vous pouvez transmettre au Duc que j'accepte de le rencontrer, il peut fixer le lieu et la date, et nous pourrons discuter et établir un partage de la Hongrie"
- "Votre majesté, ne devriez-vous pas demander avant l'avis de vos conseillers ?" demanda avec grossièreté le sous-fifre
La reine releva et pencha alors un peu la tête, et regarda soudainement l'homme d'un regard noir, bien que parfaitement calme.
- "C'est le souverain qui décide et donne les ordres, n'est-ce pas monsieur ?" dit-elle, d'une voix légèrement plus grave que la normale.
- "Euh.. B-bien entendu, votre majesté, je vous prie de me pardonner." s'excusa le sous-fifre en s'inclinant, surpris et quelque peu effrayé par cette injonction de la reine.
- "Oh ne vous inquiétez pas, il n'y aucun problème ou quoi que ce soit, appliquez simplement mes directives ^^" dit-elle, avec un ton et une expression enjoués et rassurants.
- "Avez-vous des ordres à donner quant à la situation au nord, notamment Dantzig, qui préoccupe les nobles ?"
- "Nous nous en occuperons, nous nous en occuperons, nul besoin de se presser, il est encore trop tôt."
- "Si vous le dites ..."
- "Vous avez fini ?"
- "Oui votre majesté, pardonnez-moi pour le dérangement"
- "Bien, vous pouvez disposer ^^"
- "Au revoir votre majesté" conclut-il en s'inclinant légèrement avant de se retourner et de quitter la salle.

Une fois le sous-fifre parti, la reine mit la main au menton avant de dire à voix basse, affublée d'un léger sourire :
- "Mmh.. Vraiment très intéressant ..."

vosdaronnesellesboiventdu Citoyen Messages : 3 Date d'inscription : 14/02/2018

Août de l'an de grâce 1241 : Sublime Royaume d'Arménie

Dans la tente de Gagik:
-wsh frère Very Happy

-ça va mec Cool

-large rey ta vu mon nouveau cheval ? ^^
-je lé baizé gros xDDDD

Gagik était zoophile

Hussard Citoyen Messages : 3 Date d'inscription : 15/02/2018

Ce matin, mon père est venu avec mon frère Jean, les ambassadeurs du pape travsersent toute l'Europe de l'Ouest dans le but de faire une croisade face aux Cathares...

Père:"Je laisse ton frère tout t'expliquer, j'ai beaucoup à faire, les prêtres arrivent sans cesse et on m'annonce des départ important... je dois réunir mes vassaux pour évaluer la situation avec eux."
Jean: "Bon, comme tu le sais ces hérétiques Cathares se font de plus en plus présent dans le sud... et la chrétienté est bien décidée à s'en débarrasser, c'est une opportunité en or pour toi, tu pourras faire fortunes! ils promettent monts et merveilles aux plus braves ! tu pourras même en obtenir quelques terres!"

J'ai baissé la tête, puis d'une voix grave je lui ai encore une fois expliqué que la Bretagne c'est mon chez moi et que rien ne me la fera quitter... enfin... je crois... . M'enfin même si la gloire et la fortune ne sont pas d'un grand intérêt pour moi le fait de participer à de véritables manœuvres militaires me fera une bonne expérience, et si ça peu me créer un peu de prestige même comme non héritier ça ne peu que me plaire. De toute façon je n’avais pas vraiment le choix… j’ai accepté. Je partirai dans deux semaines pour rejoindre Simon de Montfort au nord de Toulouse, accompagné du seigneur Alban de Kervadec, d’un maitre d’arme : Jacques Tarrin, et de deux maître épéistes Erwan Samson et Alban de Renne, une dizaine de chevaliers et quelque 300 gens d’armes de tout rang. Un voyage qui promet d’être long… et riche en aventure .

Comme à l'habitude on ne m'a pas dit grand chose, on m'a tout de suite envoyé voir le maître d'arme du château pour m’entraîner pendant que le seigner Kervadec discutait de l'itinéraire avec mon père... j'avais intérêt à être prêt...

Enguer Citoyen Messages : 4 Date d'inscription : 05/03/2018

Août de l'an de grâce 1241 :
Royaume de Norvège

En cette journée de août ,l'aube se lève .Les rebelles qui essayent d'assieger la ville de Tamworth se réveillent .Ils savent que l'armée royale est pas loin et ils se demandent tous quand aura lieu la bataille . Soudain ,dans le silence de cette matinée d'été ,des cris se faisaient entendre .
-"Regroupez vous ,on est attaqué !!!!!"
Les paysans face à cette attaque surprise se dépêchaient de se regrouper à leur campement principal .L'armée norvégienne se montra .Elle avança vers le camp principal des rebelles .Les paysans commencèrent à prendre formation quand soudain des pluies de flèches leur tomba dessus .Cela provoqua un désordre dans les rangs rebelles .Paniqués ,les rebelles commencèrent à charger les rangs norvégiens sans attendre les ordres de leurs officiers .L'armée norvégienne se mit en formation mur de bouclier .L'armée rebelle s'empala sur cette formation .Il faut savoir que l'armée centrale était composé de normands et de danois avec le prince héritier en 1er ligne et les ailes sont composés essentiellement d'anglais .
Dans ce carnage ,le bruit d'un cor norvégien venant de la droite se fit entendre puis il surgit des centaines de cavaliers lourdes au niveau du flanc droit ce qui porta le coup de grâce aux rebelles .Le roi regarda cette bataille depuis une colline .Cette révolte était finie .

Plusieurs jours, après cette bataille, tout les prisonniers (sauf les chefs qui sont gardés en cellule pour être interroger sur d'éventuels alliés ) sont réunis dans une vaste plaine .Certains croient à une exécution massive et font leurs prières . Puis ,sur une estrade apparaît devant eux le roi Arthur de Norvège . Le roi leur fit un discour :
-J'avoue être attristé par le faite que vous ayez pris les armes contre moi .Croyez vous vraiment pouvoir vaincre les puissantes armées norvégiennes et anglaises par le nombre ?Croyez vous que cela vous est utile ?Non ,cela ne vous apporte que tristesse et mort .Mais alors à qui cela profite ?Cela profite au royaume de France .Le roi de France veut nous diviser car il a peur de nous .En étant unis nous sommes invincibles .Rien ne peut résister à l'union des scandinaves et des anglais .Vous ne vous battiez pas pour vous mais pour un autre .Alors arrêtez de lever vos armes contre vos amis et vos frères et regroupons nous contre l'ennemie commun . Mais je me demande ce que je vais faire de vous .Vous êtes des rebelles et certains me conseillent de tous vous tuer pour l'exemple. Mais pour moi ,cela va provoquer la haine et la vengeance donc encore plus de révoltes .Je ne veux pas qu'on se souvienne de moi comme d'un tyran .Vous êtes libre .
Le roi tourna le dos et s'en alla sous les cris de joie des prisonniers

Quelques jours plus tard ,le roi et le conseil se reunissent. Arthur ordonne l'ecriture d'un livre cadastral pour optimiser ses finances et ses taxes ainsi que la construction de fortification en normandie et au danemark .
Au niveau diplomatie ,il renvoie un messager au roi d'Écosse pour le rencontrer maintenant que la situation s'est calmé à New Haven .
Un émissaire est envoyé à la Hanse nordique .Arthur veut leur proposer un partenariat commercial en rappellant que le Royaume de Norvège possède énormément de ressources comme du bois, de la laine ,de la fourrure etc .Il veut aussi leur assurer une protection militaire face aux autres royaumes .Les marchands de Bergen et Copenhague peuvent rejoindre la Hanse nordique mais doivent rester vassal de la Norvege d'un point de vue politique et militaire .
Un émissaire est envoyé au grand duché de Lothirangie pour proposer une alliance et un partenariat commercial .
Un ambassadeur et des marchands sont envoyés à Bruges .L'ambassadeur doit parler d'accord commerciaux avec le duc des Flandres et l'inviter à une rencontre avec le roi de Norvège à New Haven . Les marchands ne sont juste pour vendre quelques produits comme de la laine de mouton d'Angleterre qui est indispensable pour les célèbres tisseurs de Bruges .
3 messagers sont envoyés au roi d'Aragon ,au comte de Toulouse et au Pape .Le roi est prêt à renconter le roi d'Aragon et le comte de Toulouse (ou du moins un délégation ) dès que possible à New Haven .Il veut aussi que vienne une délégation qui représente les Albigeois .
C'est pour ça que le messager au Pape demandera une délégation Papale pour négocier la paix et un compromis avec les Albigeois .Le messager dira ces mots au Pape :
-Sainteté ,Mon roi vous de prie d'arrêter cette croisade ,au lieu de faire saigner du sang de chrétien contre chrétien ne devriont pas attaquer les Maures ou les Monghols .Unis ,les chrétiens soulevent des montagnes .Diviser ,nous sommes faibles .C'est pour ça que mon roi veut que un compromis ou une issue pacifique soit trouver à New Haven pour éviter la mort inutile de nombreux chrétiens .
Le messager qui va chez le roi Aragon doit le rassurer en lui disant que le roi veut rencontrer cette délégation pour parler d'alliance avec le royaume d'Aragon et que la religion n'a rien avoir avec cette négociation d'alliance .

Pour ce qui est de la croisade ,Arthur reste neutre pour l'instant et aucun membre de sa famille y participera tant qu'il n'y aura pas reçu la délégation Papale .Pour les nobles du Royaume ,ils sont invités à aller conquérir la Scandinavie Païenne mais il ne punira aucun des personnes qui participera à la croisade Albigeoise tant que tout territoire conquid par un des ses sujets sera toujours vassaux du Royaume de Norvège .

RaptorJesus Secrétaire Messages : 5 Date d'inscription : 14/02/2018

Août de l'an de grâce 1241 :
Pays de Galles

L'air était froid et humide dans les salles de la citadelle de Cardiff. Le donjon l'était tout autant, ce qui avait pour don de déplaire au roi. Il s'aventurait rarement dans des lieux d'aussi basse extraction, mais il devait faire une exception afin de s'informer sur son plus récent prisonnier... En effet, parmi la multitude d'êtres plaintifs qui se lamentaient dans les nombreuses cellules et salles du donjons, un seul s'obstinait à garder un silence de mort. Le baron de Stradford, l'homme qui était venu il y a de cela plusieurs mois déjà quérir le soutien du roi Henry dans son projet de reconquête de la couronne anglaise, n'avait depuis presque prononcé aucun mot malgré la privation, la torture et le froid. Toute tentative ayant été vaine jusqu'alors, Henry dut se résoudre à tenter une nouvelle approche. Il entra alors dans la salle où se trouvait le cachot du baron et, par l'intermédiaire de quelques serviteurs, fit installer une table de bonne taille et un chaise à chacune de ses extrémités. Le tout installé, des serviteurs mirent le couvert et posèrent deux plats, tout deux remplis d'un bouillon de viandes et de légumes rependant une odeur succulente dans la pièce. Le prisonnier regarda ce manège avec perplexité. Des gardes finirent par l'escorté jusqu'à la table toujours enchaîné aux mains et au pied. Seul ses mains furent détacher. Toujours avec méfiance, le prisonnier s'assit sur l'invitation du roi. Après un moment de silence où il envoya des regards intrigués vers le souverain, le baron finit par lâcher :
-Que signifie cette comédie ?
Un léger sourire se dessina sur le visage d'Henri. Il lâcha aussitôt :
-Je me suis simplement dit qu'un homme de votre stature avait croupi assez longtemps sans un repas convenable. N'ayez crainte! Je n'ai pas pour habitude d'importuner le repas de mes invités avec quelques sournoiseries.
-De ma stature? Si ma stature vous intéressait tant que cela, je ne crois pas que j'aurais été accueillit aussi...chaleureusement!, lâcha t'il alors d'un ton sec
- Cette allusion à votre stature vient surtout du fait que des rumeurs courent à votre sujet depuis quelques temps... Selon certains, vous seriez un des descendants encore vivant du roi Harold Godwinson, est ce vrai ?
La surprise étouffa quelque peu le baron qui faillit s'en étouffer avec sa soupe. Reprenant sa respiration, il dit tout simplement :
-C'est un possibilité, je ne connaît pas très bien mes ancêtres du côté de mon paternel. Je pourrai tout aussi bien descendre des derniers rois de Mercie...
Le roi, pensif, répondit par un simple "Je vois...
Il enchaîna :
-Mais je me demande...pourquoi teniez vous tant à quitter votre baronnie pour aller demander une aide incertaine à un royaume peu connu pour l'amour qu'il porte au votre ?
-L'espoir probablement... Il est possible que j'ai pensé que le roi des Gallois n'était pas complètement sot et qu'il aurait réalisé que sa tête pourrait bien figurer dans les halls de Trondheim aux côtés des autres conquêtes des Nordiques... Mais il faut croire que je me suis lourdement trompé. Délicieux ce plat d'ailleurs! Je penserai à sauvegarder la recette une fois de retour à Stradford
Un peu piqué au vif, Henry dit alors :
-Et qu'est ce qui vous fait croire que vous serez libre sous peu?
Celui de répondre :
- À cause de ma "stature", comme vous le dites si bien... Je suis un homme extrêmement populaire en Angleterre vous savez. Je suis même sûr que vous avez déjà reçu de nombreuses lettres de mes compatriotes demandant votre clémence à mon égard. Si jamais il vous venait à l'idée de m'exécuter ou pire, de me livrer aux geôliers Norvégiens, soyez sûr que je ne serai pas le dernier à faire de petites excursions dans votre royaume de pacotille, votre excellence
Pendant son discours, Henry le regardait sans broncher jusqu'à ses derniers mots puants à plein nez le sarcasme. Dans un accès de rage, il envoya valser la table quelques mètres plus loin, rependant au sol le contenu encore chaud des deux bols. Il s'avança vers le baron et l'empoigna à la gorge avant de le plaquer sur un mur. Le visage du roi affichait un mine impassible et son regard était devenu noir. Le baron, d'abord surpris par ce revirement de situation, démontrait désormais des signes de panique, voyant que la forte poigne se resserrait de plus en plus autour de son cou, au point au l'air commençait cruellement à manquer. Il eu beau se débattre et gesticuler de toute ses forces, rien ne semblait perturber la détermination morbide du souverain désormais méconnaissable. Un silence de mort s'était abattu dans la citadelle. Même les meurtris avaient cessés de geindre et les gardes n'osaient pas faire le moindre geste. Après quelques dizaines de seconde où le baron émettait des sons de détresse étouffé, le roi finit par le relâcher d'un coup et regarda d'un air surpris les alentours, comme s'il revenait de loin. Il reprit rapidement ses esprits et ordonna aux gardes de remettre le prisonnier dans la cellule qui regardait désormais le roi avec un mélange de crainte et de haine. Henry et sa suite repartirent ensuite, laissant le baron dans sa cellule alors qu'il tentait encore de reprendre sa respiration.

Suite à cet événement, le roi dû se diriger vers la salle du trône. En effet, on lui avait dit que des invités de marque était présent sans lui en avoir révéler la nature, les détails ayant manqué à ce sujet. Ainsi, aussitôt arrivé, il eu la surprise de voir sa soeur Mathilde et son époux, le prince Oskar de Norvège accompagné de plusieurs émissaires et de sa garde personnelle ainsi que des émissaires papaux discutant avec des ecclésiastiques locaux. Saluant tout d'abord sa soeur et son beau-frère, il dû avant d'entendre ce qu'ils avaient à dire écouter ce que les émissaires du Pape avaient à proclamer. Ceux-ci dirent alors que le Pape avaient lancé une nouvelle croisade contre les Albigeois et que les fidèles Gallois, dévoué catholique qu'ils devaient être, étaient invité à participer à cette Croisade contre les hérétiques. Le message fut envoyé aux quatres coins du royaume, mais le roi ne donna pas encore de réponse sur une quelconque participation de sa part. Son frère, le comte de Powis, accepta par contre de partir en croisade avec l'aide de ses troupes d'ici quelques mois, ce qui eu dont de ravir les émissaires du Saint Siège. Vint ensuite le tour du Prince Oskar qui, ayant appris la venue et la séquestration d'un rebelle à Cardiff, avait été envoyé par son frère Arthur afin de demander à ce que le prisonnier leur soit rendu. Bien content de pouvoir s'en débarrasser, le roi Henry accepta d'envoyer le vil Anglais aux Norvégiens, mais conseilla tout de même à son beau-frère de faire preuve d'une certaine prudence quand à son jugement, la valeur de ce prisonnier étant en effet relativement élevé auprès de la noblesse anglo-saxonne. Le prince de Norvège dit qu'il ferrait le message à son auguste frère et avertir aussi le roi gallois que le roi Arthur en personne souhaiterait sous peu s'entretenir avec lui. Enfin, quand la plupart furent partit soit à Rome, soit vers le banquet organisé en l'honneur des arrivants de Norvège, le roi Henry vit l'arrivée d'un dernier émissaire. Il avait l'air épuisé et ne parlait le gallois que de façon rudimentaire. Mais ces insignes ne trompaient pas... Il venait d'Irlande et plus précisément du petit royaume de Mide. Il dit tout simplement:
-Prince Airt, dernier fils de roi Brian, est mort. Roi proche de la mort et voudrait vous voir vous et votre mère, dans pas longtemps
Le roi devrait avec la reine-mère, la fille du Haut roi Brian, chef symbolique de l'Irlande, afin d'aller au chevet du vieil homme...

**Vladou** Administrateur Messages : 4 Date d'inscription : 14/02/2018

vosdaronnesellesboiventdu a écrit:
Août de l'an de grâce 1241 : Sublime Royaume d'Arménie

Dans la tente de Gagik:
-wsh frère
-ça va mec
-large rey ta vu mon nouveau cheval ? ^^
-je lé baizé gros xDDDD

Gagik était zoophile

Fais un meilleur post, connard

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Arthur I ,le roi de norvège

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